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COCOTTE HOLYDAYS

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5 novembre 2006

SEJOUR AU ZITA à ZARZIS EN TUNISIE du 10 au 17

SEJOUR AU ZITA à ZARZIS EN TUNISIE du 10 au 17 Septembre 2006

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Dimanche 10 Septembre 2006

RDV 17 h 15 à l'aéroport, encore en France et impossible de trouver le guichet du Tour Opérateur Mille et Un Soleils, nous remarquons une longue file d'attente et après une queue d'un quart d'heure, nous voilà billets en main. Après avoir déambulé dans tout l'aéroport, nous trouvons le hall d'embarquement. Visite rapide des Duty Free car comme d'habitude, nous étions juste à l'heure. On finit par trouver l'avion, vol prévu à 19 h 35 pour plus de 3 h du à une escale à Tunis. Jean Claude et moi étions ravis vu notre peur de l'avion. Départ de Marseille sans problème, on nous donne une collation faite d'eau, de jus d'orange, de chips et de biscuits apéritifs. Nous atterrissons à Tunis en étant un peu secoués. Des passagers descendent et d'autres remontent pour repartir sur Marseille après Djerba. Au moment du décollage, des gens s'exclament « il y a une fuite dans l'aile » et réclament à boire du champagne en compensation du retard que nous avions (environ 30 minutes à tout cassé dans une chaleur quand même torride), des gens avaient peur et malgré les protestations l'avion décolle. Nous arrivons donc à l'aéroport de Djerba à 0 h 30 puis nous sommes transférés à l'hôtel. En cours route, Mireille et Jean Claude ont aperçu beaucoup de phares, « on doit longer la mer » se sont-ils dits, et non il s'agissait de mosquées fort nombreuses, nous sommes donc arrivées dans notre palace vers 1 h 30. Heureusement, Mireille avait tout prévu et nous avait préparé de somptueux sandwich que nous avons bien apprécié à l'arrivée à Djerba. Nous avons été accueillis dans une salle monumentale. Après nous avoir étiqueté d'un bracelet jaune fluo et dégusté une eau plate, nous sommes rapidement dirigés vers nos chambres 4020 et 2037.

Lundi 11 Septembre 2006

Réveil à 8 h 00 par Mireille et Jean Claude. Il faut noter que l'on a eu une demi heure de répit car après avoir fait sonner mainte et mainte fois la chambre 2033 où ils pensaient que nous étions et frapper à cette même porte, ils ont vu apparaître un jeune tahitien muni en tout et pour tout d'une serviette autour de la taille. Rien à voir avec les muscles de Patrice.

Nous arrivons donc au buffet du petit déjeuner en rêvant à notre café du matin. Fut notre mécontentement à la première gorgée, il était infecte, d'ailleurs seul point noir de l'hôtel. Le buffet regorgeait de viennoiserie, de charcuterie, de plats chauds...

Puis nous nous sommes rués dans la piscine avant le briefing de 10 h 30  qui nous indiquaient les services et les activités organisés par l'hôtel. Nous nous inscrivons de suite pour deux jours de 4 x 4 dans désert pour 140 dinars.

En sortant, il tombait quelques gouttes, nous nous sommes réfugiés sur la terrasse couverte où nous nous sommes inscrits au jeu de fléchettes. Après avoir lancé une fléchette chacune, car entre temps Patrice et Jean Claude s'étaient esquivés à la piscine, les animateurs nous ont demandé de tourner autour d'une table en faisant l'indien, nous nous sommes discrètement échappés du groupe à notre tour pour aller à la piscine à notre tour car malgré le mauvais temps annoncé, il faisait très chaud.

A midi, nous découvrons un buffet gargantuesque où nous nous jetons comme des affamés, ce que nous ferons d'ailleurs toute la semaine.

A 14 heures, nous décidons de partir à pied dans le centre ville de Zarzis qui se trouve à cinq kilomètre afin de digérer notre repas. Ce que nous avions oublié, c'est qu'il faisait très chaud. Après avoir marché pendant 1 heure le long d'une route défoncé et qui a l'air à l'abandon car les magasins sont fermés à cette là. Nous trouvons quand même une pharmacie pour acheter du contalax pour Jean Claude mais il n'y avait que du forlax. Après avoir déambulé dans Zarzis, nous nous arrêtons pour faire les premiers achats de Mireille et trouvons du café soluble afin de palier à notre problème du petit déjeuner. Le vendeur nous appelle une calèche que nous avons du attendre une heure avant qu'il nous transporte à l'hôtel par le bord de mer.

Puis nous nous sommes jetés dans la piscine dès notre arrivée, douche, cocktail (rituel de notre séjour soit 2 cocktails le midi et 2 le soir),repas. Mireille est partie se coucher et nous sommes allés voir le spectacle dans la boite de nuit. C'était pas terrible et sommes allés nous coucher.

Mardi 12 Septembre

Nous déjeunons de bonne heure afin que Jean Claude et Patrice aillent faire leur footing matinal (le seul de toute la semaine). Avec Mireille, nous décidons d'aller marcher le long de la plage, nous retrouvons Jean Claude en train de marcher car il avait déjà capituler pendant que Patrice persévérait. Il faut dire qu'il commençait déjà à faire très chaud. Puis la journée s'est constituée de baignade, mer, piscine et commérage. Mireille a fait l'estrasse le matin dans le transat et quand j'ai parlé d'une petite sieste dans la chambre, personne n'avait l'air d'accord de s'enfermer, alors je suis partie me coucher et ai demandé de me réveiller dans une demi heure. Jean Claude me réveille donc ¾ d'heure après et lorsque j'arrive au bord de la piscine, j'apprends que Mireille s'est aussi endormie dans la chambre où elle restera une bonne partie de l'après midi malgré sa sieste du matin dans le transat.

Nous nous sommes baignés à la mer qui était déchaînée, les rouleaux nous entraînaient, me déshabillaient aussi et Jean Claude s'est fait enlevé le vernis de sa peau. Mais comme des gamins, nous y retournions.

A 18 heures, nous sommes allés régler notre réservation pour les deux jours dans le désert et une mamie, nous passe devant sans la moindre scrupule. Jean Claude l'interpelle mais se fait rabrouer « Je viens juste pour régler et j'ai 75 ans ». Nous aussi, nous venions juste régler et si elle était impotente ce qui n'était vraiment pas le cas en apparence, elle ne partirai pas en excursion. Comme nous étions en vacances, nous n'avons pas fait suite car elle n'en valait pas le coup.

Il faut noter ce jour là, notre découverte de notre Cyril national dons nous avons suivi ses conquêtes toute la semaine. Il tient à merveille le rôle de Jean Claude Dusse (Michel Blanc) des bronzés.

Au moment du dîner, nous nous installons à une table sur la terrasse, mais le serveur n'était pas d'accord car une table ne sert pas deux fois dans la soirée. Il nous a regardé d'un sale œil tout au long du repas. Nous avons compris que des gens réservaient des tables aux serveurs en lui glissant une pièce. Pratique que l'on a appliqué dès le lendemain soir mais bien sur avec un autre serveur.

On nous annonce Soirée Fakir, un spectacle que nous ne serions jamais allés voir dans la vie courante, comme de parfaits touristes nous nous rendons donc à la boite de nuit où le divertissement était impressionnant. Le Fakir marchait sur du verre de bouteilles cassées avec deux petites belges en équilibre sus ses pieds, il s'est étalé sur planches de pointes avec aussi des belges sur son torse, il s'est placé une flèche au niveau de la gorge avec des personnes qui s'appuyaient dessus... Puis il nous a sorti un iguane, un lézard et une vipère des sables, des cobras, un python, des scorpions.

Puis nous sommes allés nous coucher après une journée bien remplie.

Mercredi 13 Septembre

Journée ressemblant beaucoup à notre journée du Mardi c'est à dire cocktail, mer, piscine et un petit Ping Pong pour Patrice et moi.

A 14 h 30, nous avions rendez vous au SPA, au programme,

Demi journée Hammam, gommage, bain à remouds, soins aux algues et massage complet pour Patrice

Hammam, gommage et massage partiel pour Jean Claude

Hammam, gommage pour Mireille

Hammam, gommage et Massage Complet pour moi

Mireille a faillit s'étouffer au hammam.

Au gommage Jean Claude et Patrice, malgré les poils, ont plutôt souffert de la puissance du massage par leur hôtesse. Et malgré tous les bains de piscine et de mer depuis trois jours, nous nous sommes aperçus que nous étions "cra cra" après le gommage.

Puis le massage aux huiles s'est avéré un bien-être pour nous trois.

Il ne faut pas oublier les prises de Forlax pour Jean Claude qui s'avère toujours sans succès ce qui ne l'empêche toujours pas de s'empiffrer de coucous.

N'oublions pas notre Cyril qui recherche toujours son âme sœur autour de la piscine sans conclure.

Jeudi 14 Septembre

Départ 7 h 30 en 4 X 4, nous nous sommes arrêter dans un bar pour faire une escale, nous avons découvert que le café était aussi imbuvable et que ça ne venait pas l'hôtel. Puis direction Tataouine pour faire le marché aux épices. Mireille et Jean Claude en profite pour faire des achats (appliques et je ne sais pas quoi) car tout était emballé.

Puis direction Chenini, village troglodyte, on admire le paysage de loin puis nous allons mangé dans un restaurant, au menu : soupe de boulgoure, couscous berbères et cornes de gazelles.

Départ pour le campement aux portes du Sahara par les pistes berbères qui nous a bien tassé le couscous et bosselé le crâne car il faut dire que Mireille et moi avions choisi l'arrière du 4 X 4 pour notre périple.

Arrivée au campement, nous découvrons nos appartements au porte du désert, enfin si l'on peut appeler ça comme ça, car il s'agissait de vrais lits avec des couvertures berbères sous une tente à porte ouverte.

Puis nous repartons pour la source chaude dans le 4 X 4 en sautant les dunes de sable.

La source chaude est un petit trou d'eau dont nous ne préférons ne pas connaître l'origine. Des bulles gluantes se forment sous notre corps. Des OFNI (objets flottants non identifiés) nous entourent. Autour de cette source se trouvent des sortes de guinguettes pour accueillir les touristes, la consommation paraît alors obligatoire.

A 50 mètres de la source, se trouvent des dunes de sable comme sorties de notre imaginaire et encore plus. Donc après notre baignade, des dromadaires nous attendent pour une promenade très agréables pour Mireille et moi et moins impressionnante que je le pensais, Jean Claude et Patrice se plaignent de l'écrasement de leurs attributs. Nous avons quand même du nous mettre le chech pour nous éviter de manger le sable très fin des dunes.

Retour au campement pour prendre une bonne douche dans des sanitaires dignes d'une colonie des années 50. Après notre repas (soupe de boulgoure pimentée, spaghettis re pimentés avec un morceau de bœuf et du melon en dessert), nous rejoignons notre « chambrée » où des scrarabés sous l'influence de la lumière atterrissent sur nos lits.

Nous négocions avec les deux jeunes filles faisant parti de notre escapade dans le 4 X 4 de prendre nos places à l'arrière pour le lendemain.

Jean Claude fait un énième pour aller aux toilettes avec un microlax (enfin une marque tunisienne). Pour ma part, je me suis endormie comme une souche malgré les commérages de mes acolytes. J'ai appris le lendemain matin que Jean Claude avait du aller aux sanitaires dans le noir car le groupe électrogène qui nous éclairaient avait été coupé, pour enfin comme d'habitude ne rien faire aux toilettes.

Vendredi 15 Septembre

Après une nuit difficile pour Mireille qui n'avait pas beaucoup dormi, nous déjeunons et repartons vers un village berbère puis vers Matmata village troglodyte sous terre, lieu où a été tourné la guerre des étoiles. Nous sommes un peu déçu car nous ne sommes pas vraiment rentrés dans le village. Nous déjeunons su ce site un coucous et nous baignons dans la piscine. Le guide nous propose d'allonger la visite par Djerba en passant par le bac moyennant 8 dinars (5 euros) supplémentaire. Nous partons donc et arrivons dans une immense boutique de souvenirs où le guide doit bien sur recevoir sa commission. Mireille et Jean Claude continue leurs achats (Narguilé, babouche...) Puis, il nous emmène donc voir des fileuses de tapis, elles nous tirent par la main et nous font voir leur travail (3 mois pour faire un tapis). Le guide nous propose d'aller voir un musée du tapis mais personne n'est vraiment inspiré par cette visite. Nous rentrons donc à l'hôtel où nous nous jetons dans la piscine, cocktail et repas avec les niçoises (rencontrées pendant notre périple de deux jours) qui ont pris l'apéro avec notre cyril. Nous en apprenons donc un peu plus sur son compte (divorcé, deux enfants), il a pris deux semaines à l' hôtel Zita mais ne peut pas faire de sorties car il n'a pas le budget.

Nous apprenons que notre départ de l'hôtel le dimanche était programmé à 20 h 30, décollage 23 h 20. Nous étions enchanté de profiter d'une journée supplémentaire avec l'inconvénient d'une dure journée pour ceux qui travaillaient le lundi car l'arrivée à Marseille était prévue à 1 h 30 du matin.

Le soir nous assistons au spectacle chanson en play back mais sans succès après deux chansons nous rentrons nous coucher. Entre temps, nous avions déposé nos serviettes au bord de la piscine et la serviette de Jean Claude s'est évaporée, le joli phare dessiné sur sa serviette a du fasciner un admirateur, nous avons donc déambuler sur toutes les terrasses pour la retrouver mais nos recherches ont demeuré infructueuses.

Samedi 16 Septembre 2006

Après une réveil matinal, nous profitons de la piscine, mer, aquagym pour Jean Claude et Moi où notre Cyril en admiration devant notre niçoise Samantha qui a voulu s'éclipser mais sans succès, car notre Jean Claude Dusse lui courait après dans la piscine. Promenade sur la plage ou Mireille a déniché quelques coquillages. Kayak pour Patrice, Jean Claude et moi, Ping Pong. En fin d'après midi, nous sommes allés faire les derniers achats dans les boutiques environnant l'hôtel. Patrice et moi avons eu l'occasion de fumer le Narguillé mais sans aucune satisfaction (beaucoup d'aspiration pour très peu de goût).

Nous avons dîné avec les niçoises, écourté pour Samantha qui avait rendez vous à l'extérieur avec un tunisien, puis nous sommes allés voir le spectacle « show latino » créé par les animateurs avec quelques clients de l'hôtel.

Dimanche 16 Septembre 2006

Nous avons passé une journée très calme, promenade sur la plage, baignade, mer, piscine, kayak, cocktail et repas.

Nous avons savouré notre dernier jour de vacances comme il se doit.

Départ comme prévu à 20 h 30 sans que Jean Claude n'ai pu expédier ses excréments dans les toilettes. Je devais finir par cette phrase car son "caca" a été un grand sujet de conversation durant notre séjour.

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